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Des filles qui gerbent à max, mais sans sexe
28 mai 2010

Exorcist vomit

Pedro, cuisinier de son état, reçoit sa petite soeur Angelina pour une semaine, le temps qu’elle effectue un stage académique à Acapulco. Et Pedro sait sa frangine grande gourmande devant le Tout-Puissant. En effet, Angelina, certes charmante, est rondouillette (1 m 62 pour 80 kg), car elle mange souvent de manière quasi-incontrôlable, enchaînant assiettes et verres au point de ne pouvoir ni marcher ni respirer. Plus d’un lui ont déconseillé de demeurer dans ce surpoids, sans se douter que notre meuf ne doit allégeance qu’à une seule autorité : la bouffe.
De bouffe, Angelina ne se prive pas ce jour-là. Une fois arrivée de Mexico, elle engloutit quatre énormes plats composés de divers mets et pas moins de deux litres de bière. Ce qu’Angelina ne sait pas est que Pedro a mis une puissante dose de somnifère dans l’assiette de potage. En un rien de temps, la jeune femme, envahie par un engourdissement qu’elle ne s’explique pas, prend la porte de la chambre des visiteurs, s’affale lourdement sur le lit et ronfle bruyamment. Pour votre information, autant l’appétit d’Angelina est sans pareil, autant son sommeil n’a pas d’égal.
L’idée du cuisinier s’avère machiavélique : humilier sa soeur si fort qu’elle n’aie plus l’envie de se goinfrer sauvagement. Il s’agit de faire boire à la meuf, alors qu’elle dort, une bouteille de Coca contenant des pastilles de Mentos. Tout le monde sait que le mélange de ces deux substances provoque une réaction « fon-taine ». Il est temps de voir ce que ça produira dans un estomac bien rempli…
Assez rapidement et avec dextérité, Pedro fignole la mixture et la fait avaler à Angelina avant que l’effet maximal ne soit atteint. Toute la bouteille est avalée. La suite ne tarde guère…
Sous un rot sonnant comme un gros hoquet quasi-métallique, une bouillie brun-jaunâtre se projette vigoureusement sur le visage et la chemise du cuisinier qui s’écarte brusquement du lit. Le vomi suivant est bref, mais spectaculaire : tel un tuyau d’arrosage, la bouche d’Angelina propulse un jet d’une rare puissance qui atteint le mur en face d’elle à un mètre en formant une épaisse éclaboussure grumeleuse et visqueuse. Inconsciemment, car toujours profondément endormie, notre grosse femme s’incline vers le sol. Sans rot, mais très bruyamment et assez violemment, le sol se recouvre en moins de trois secondes d’une flaque multicolore très ramifiée. Les troisième et quatrième renvois, tout aussi abondants et énergiques, élargissent la première flaque de taille déjà remarquable. Une odeur de moisi et de fermenté plane dans la chambre. Par terre, tout est recouvert de gerbe et on ne sait pas où poser les pieds. Angelina, elle, continue à piquer son roupillon après s’être complètement vidé la panse.
Pedro, quant à lui, retourne à ses culinaires occupations, l’air le plus innocent du monde.
J’ignore si l’étudiante comprit la leçon. Toutefois, elle écourta singulièrement son séjour chez son frère, vu qu’elle ne passa pas une nuit de plus à Acapulco…

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