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Des filles qui gerbent à max, mais sans sexe

21 mai 2023

La belle et la gerbe

Lors d'un voyage en bus en Afrique australe, j'étais charmé par la compagnie d'une jolie jeune fille éthiopienne prénommée Yvonne. Son teint café au lait, ses formes généreuses et ses bottes noires jusqu'au mollet m'ont instantanément attiré. À mi chemin lors d'une étape, le chauffeur s'accorda et accorda deux heures aux passagers afin les gens puissent se sustenter et se soulager. C'est ainsi que ma compagne de circonstance et moi nous dirigeâmes vers un restaurant juste à côté d'une station-service. J'avoue que je n'avais pas trop faim et par expérience, j'aime manger léger lorsque je voyage par route. Je me suis donc juste contenté d'un petit verre de jus et d'un croissant. Ce qui provoqua l'hilarité d'Yvonne. Elle prétendait être grande mangeuse devant l'Éternel et comptait assouvir sa faim qui était grande.

Sans se faire prier, elle commanda du riz et des haricots servis chacun dans un gros bol, accompagnés de deux morceaux de poulet et d'une grosse bouteille de Coca-Cola d'environ 2 litres. « Ton croissant, je le prendrai en guise de dessert quand on sera dans le bus, se raillait-elle de moi ». Libre à vous de me croire ou pas, la demoiselle trouva de la place pour tout cela dans son ventre en moins d'une demi-heure, lequel était vraiment rempli et se dessinait sous sa blouse et son jean ! Ses deux mains sur son gros bide, Yvonne poussa un gros rôt de satisfaction. Je serais malhonnête si je disais que regarder cette pulpeuse personne manger et boire autant ne m'excitait pas, émétophile émérite que je suis. Mon désir augmenta d'un cran lorsqu'en partant, elle commanda une grosse bouteille d'eau.

De retour dans le bus, vu la chaleur étouffante qui régnait en cet après-midi, la jeune fille parvint à engloutir dans son estomac un litre et demi supplémentaire de liquide, auquel elle ajouta le dessert ! Cette fois là, la taille de son abdomen avait pris des proportions assez remarquables. Yvonne reconnut d'ailleurs qu'elle avait quelque peu dépassé ses limites, juste pour m'impressionner. Un détail la tiqua particulièrement : malgré une si grosse quantité de liquide absorbée, elle n'éprouvait aucune envie d'uriner. En bon connaisseur, je savais ce que ça voulait dire : ma belle et gourmande passagère avait du mal à digérer. Son organisme devrait se débarrasser de tout ce poids accumulé. J'attendais le moment fatidique

En vérité, je n'entendis pas très longtemps...

Après environ une heure de route, alors que nous étions en train de papoter, Yvonne sentit une espèce d'inconfort traduit par des bouffées de chaleur. Elle agitait frénétiquement son éventail sur son visage, mais continuait de suer à grosses gouttes. Un moment, elle retira ses chaussures. Elle avait des pieds de rêve et de mignons orteils (et très bien soignés, car les bottes ne dégageaient pas une odeur particulièrement forte, en dépit du climat torride). Rien n'y fit. Bien au contraire, dans les minutes qui suivirent, la jeune fille fut en proie à de violentes nausées.

En homme prudent et avisé qui voit le mal de loin, quelques temps avant de remonter dans le bus, j'avais discrètement acheté un gros sachet en plastique semi translucide, disons un petit sac, juste au cas où. Bon, du coup, je n'avais apparemment pas agi discrètement, car Yvonne le réclama instamment. Je ne me rappelle pas avoir entendu un rôt lorsque le premier vomi jaillit de la bouche de la meuf canon. Le rejet, de couleur brunâtre, prit pas moins de cinq secondes et était essentiellement formé de la bouteille d'eau récemment bue, des morceaux de croissant et des haricots mal mâchés. Presque immédiatement, sous un rot assez violent qui alerta les voisins de chaise, un autre torrent un peu plus épais mais plus abondant, aux teintes indéfinissables, mais plus foncé, jaillit du gosier de ma compagne avec une formidable pression. Un moment j'ai même cru que mon sachet allait éclater, ce qui serait la cata. Une odeur rance flottait dans tout le véhicule, amplifiée par la moiteur qui régnait. Yvonne souffla un peu, toujours en position inclinée. Une autre éructation la surprit, laquelle expulsa un autre grosse gerbe, certes moins volumineuse, mais plus épaisse, en grande partie composée de tout ce qu'elle avait mangé, surtout du coca et des morceaux de poulet. À la suite de cinq ou six quintes de toux bruyantes, la demoiselle clôtura sa besogne vomitive. Yonne, honteuse et confuse, me regarda d'un air penaud qui, paradoxalement, la rendait encore plus craquante. Le plus important est qu'elle se sente mieux. Son ventre, arrondi par tout ce qu'elle avait ingéré, a désormais repris son volume initial. Et moi ayant en main un sachet gonflé prêt à éclater, rempli des excès de la jolie Yvonne : environ quatre litres de liquide peu ragoûtant ! Craignant de faire passer toute cette cargaison par dessus bord par la fenêtre, je demandai au chauffeur de s'arrêter. Je déposai le sachet le long de la voie et je pus contempler avec admiration tout son contenu se répandre sur l'herbe.

Quel voyage, aussi mémorable que merveilleux !

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11 mai 2023

LES RÈGLES FONDAMENTALES POUR VOMIR EN GRANDE QUANTITÉ

 

 

  1. Être en petite tenue (ou à poil si c’est votre délire) pour éviter que les éclaboussures ne salissent vos chaussures ou vos vêtements
  2. Manger au point de se sentir rassasié, mais pas trop. Un kilo de nourriture dans l'estomac, c'est déjà un bon début
  3. Boire une bouteille d'un litre et demi d'eau, de préférence tiède. En principe, votre ventre doit prendre du volume tel un ballon rempli de liquide
  4. Attendre patiemment que les nausées fassent leur effet et que l'estomac décide de tout faire sortir
  5. Adopter une position penchée, les mains sur les cuisses, afin que le sol, la douche ou la baignoire accueille le produit de votre indigestion.
  6. Si rien ne se produit, prendre une brosse à dents propre et enfoncer délicatement la partie arrière au fond de votre gorge, juste à l'endroit où le réflexe nauséeux est le plus intense (les médecins appellent ça la luette)
  7. Au fur et à mesure de l'application du geste précédent, le vomi jaillira de votre bouche. La première projection est généralement peu fournie mais les suivantes libéreront des torrents qui vont se répandre bruyamment et anarchiquement et vous soulageront à chaque rejet dont les derniers seront plus épais et moins abondants
  8. Vous pouvez désormais admirer la grosse flaque qui trône par terre à la cuisine, au salon, dans la salle de bain, voire en chambre. À moins que les deux litres et demi de vomi que vous avez rendus s'écoulent difficilement dans la baignoire ou dans la douche, plaquant ces dernières de gros grumeaux mixés dans un liquide visqueux et malodorant

Une illustration de ce que j'ai dit plus haut, car une image vaut mille mots :

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4 octobre 2022

Les tribulations gastriques de Noëlla

Noëlla est une fillette extrêmement timide. Elle exprime difficilement ses sentiments, ainsi que ses états d'âme. Même lorsque sa joie est dans son comble, elle ne sourit jamais. Et elle ne pleure pas quand elle était envahie par une grande tristesse. Reste-t-elle impassible en cas d'excès de table ? C'est ce que nous allons voir...

Un dimanche après-midi, notre gamine de neuf ans et ses parents prennent du bon temps à une terrasse. Avant même de quitter la maison, ce n'était pas la grande forme pour Noëlla. Elle a dû abuser de la tarte à la fraise, qu'elle a avalée goulûment avec beaucoup de lait. Elle se sentait quelque peu barbouillée, mais pas au point de rendre. Les nausées s'estompèrent d'ailleurs trois quart d'heure plus tard. La mioche sentait toujours son estomac lourd. Cela ne l'empêcha pas néanmoins d'enchaîner les bouteilles de soda. Elle parvint à en consommer cinq durant la paire d'heures qui suivit ! Sans trop s'en rendre compte d'ailleurs. Le couple, plongé dans la conversation, ne se rendit même pas compte de cette orgie de boisson. Ce n'est que lorsque la gamine entreprit d'avaler sa sixième bouteille que son corps dit stop.
Des gargouillis aussi intenses que douloureux parcoururent le ventre ballonné de Noëlla dès qu'elle entama les premières gorgées de sa dernière bouteille qu'elle déposa brusquement sur la table. Au même moment, son estomac distendu se contracta et fit remonter d'un coup tout son contenu vers l'œsophage. La fillette se retourna et sous le regard à la fois surpris et dégoûté de ses parents et des occupants des tables voisines, projeta de sa bouche et d'un seul jet tout ce qu'elle avait avalé comme liquide ainsi qu'une bonne partie de la tarte à la fraise. Le vomi était impressionnant par sa quantité, sa durée et son intensité : Noëlla évacua plus de deux litres en presque quinze secondes ininterrompues et le bruit de la gerbe qui s'abattait par terre couvrit le son de la musique d'ambiance ! La flaque grumeleuse était de belle taille. Juste après cette performance sui generis, Noëlla se sentit extrêmement soulagée. Tout penauds, les parents prirent leur rejeton par la main, quittèrent la terrasse, entrèrent dans leur voiture et démarrèrent au quart de tour...

 

17 juillet 2022

BAIN DE VOMI

Deux pizzas, deux assiettes de nouilles, une pastèque, un poulet grillé, deux sandwichs XXL, quatre bouteilles de 1,5 l de jus de grenadine.

 

Durant presque 6h, Kayla est parvenue à ingérer une quantité de nourriture et de boissons aussi monstrueuse. Son estomac de fille en surpoids (la meuf de 22 ans pèse 130 kg) s'est considérablement distendu au point de ressembler à un ballon géant de plus de 12 litres! Kayla est une hyperphagique, mais à ce jour-là, son estomac commanda à son cerveau de se débarrasser de cet encombrant contenu. Les intestins de la demoiselle n'en pouvaient plus non plus de toute la masse de matière fécale accumulée.

 

Les nausées ayant atteint leur point culminant, Kayla se dirigea non pas aux toilettes pour se purger de tout ce qu'elle avait avalé, mais plutôt vers une piscine gonflable ou l'attendait son petit ami gringalet. Il s'apprêtait à recevoir avec impatience un bain d'un type très particulier.

 

Dans un ultime effort, la jeune femme s'avança, puis posa ses mains sur le rebord de la piscine. La bouche grande ouverte, après un rot sonore, elle arrosa son copain d'un liquide rougeâtre tiède durant une dizaine de secondes. Au même moment, l'anus de Kayla expulsa un long caca boudin de 40 cm suivi d'un d'une pâte très abondante qui tomba avec un bruit épais dans les 15 secondes qui suivirent !! L'estomac arrondi de Kayla semblait se calmer. Mais sentant toujours l'inconfort dû à toute cette bouffe, elle introduisit deux doigts dans sa gorge. Un immonde hoquet projeta tel un tuyau le reste de soda mêlé au poulet et au sandwich. Le vomi s'expulsa tel une fontaine semi-pâteuse pendant environ 8 secondes. Notre obèse n'eut pas besoin de se servir de ses doigts. Une nouvelle fois, le sac gastrique libéra avec profusion une gerbe grumeleuse aux couleurs indéfinissables où l'on distinguait des morceaux de pastèque, de nouilles, de sandwich et de poulet. Des spasmes à l'allure d’éructations étouffées plaquèrent ainsi l’heureux compagnon de Kayla de plus de deux litres de quiche. Le ventre de la demoiselle avait sensiblement diminué de volume et son estomac se calma une nouvelle fois. La piscine gonflable était remplie d'une substance à l'odeur douteuse, visqueuse à souhait, et dans laquelle nageait euphoriquement un gars au summum de l'extase. Lorsque la demoiselle enfonça ses doigts dans son gosier les quatre fois suivantes, elle laissa tomber de ses lèvres pas moins d'un litre et demi supplémentaire  composé d'une espèce de mixture gluante de pizza et de nouilles mal digérées. Le mec dans la piscine, au nirvana de l'extase, lâcha une abondante purée dans son bain sui generis.

 

Notre demoiselle s'était vraiment bien déchargée : à même le sol trônait une grosse merde vaguement brunâtre d’au moins trois kilos et qui empuantissait les alentours à 20 mètres à la ronde. Dans la piscine fumait environ dix litres de dégueulis à l’arôme peu attirant.

 

« Ouf! Je me sens mieux, s’exclama Kayla. J'ai tellement gerbé que ça m'a donné faim ! »

 

Sans se donner la peine de tout nettoyer et toujours en tenue d’Ève, la jeune femme dotée de nibards olympiques et d'un popotin surdimensionné marcha nonchalamment vers la cuisine. Elle y engloutit une quinzaine de donuts et un pot de crème de deux litres. Satisfaite, elle poussa un gros gage stomacal et s'endormit en ronflant sur le canapé, laissant son compagnon crawler et se prélasser dans un bon bain chaud de vomi filant et malodorant.

17 juillet 2022

LA POLICE EST ÉCLABOUSSÉE

Le long d'une voie au trafic très dense au sein d'une grande ville d'Afrique centrale, des policiers sont en train de disperser et de démolir à coups de matraque et de pieds, les vendeurs illégaux et leurs étalages. Dans leur sale besogne, leur route croise une quadragénaire très enveloppée, au séant disproportionné et à la poitrine exubérante, qui se démène pour emballer ses affaires. Malgré son âge, la femme a un joli visage. Ce physique allume instantanément les hommes en armes qui, gagnés par des  pensées hautement lubriques, au lieu de s'en prendre aux légumes et à la table de fortune sur laquelle ils trônent, se saisissent violemment de la pauvre dame. Celle-ci, comme une vulgaire criminelle, se retrouve avec les mains menottées, lancée sans ménagement dans une jeep.

Une fois arrivés au bureau, le commandant ainsi que son adjoint attachent la grosse dame sur la table. Le pénis du chef ayant atteint des proportions dantesques, il s'apprête à infliger une sodomie mémorable à la vendeuse. L'adjoint, de son côté, vient de retirer la blouse de la victime, dont les seins particulièrement volumineux sont à découvert. Il ôte à son tour son pantalon est monte sur la table. Il s'attend à ce que la captive lui fasse une fellation.

Or il se fait que notre vendeuse a le ventre bedonnant. Non seulement à cause de son embonpoint, mais surtout parce qu'elle s'est rempli la panse à ras bord quelques dizaines de minutes auparavant. C'est qu'elle a consommé trois  « boules » de pâte manioc accompagnées d'une quantité appréciable de haricots blancs, le tout précédé deux heures plus tôt d'au moins un litre et demi de lait mixé à deux pains de taille respectable qu'elle a engloutis dans un énorme pot en plastique. En guise de clôture à son repas, elle a bu environ un litre supplémentaire d'eau.

Sous l'effet de la panique et d'un stress insupportable, les entrailles de la dame forte décident de se rebeller sans crier gare…

Alors que le commandant s'apprête à introduire son engin dans le fondement de la maraîchère, et qu'il tripote le gigantesque derrière de celle-ci, un pet très sonore retentit, suivi d'une formidable projection brunâtre s'éclabousse sur le visage et le torse du policier ! La diarrhée, extrêmement abondante, jaillit avec une rare pression. Je vous épargne l'odeur, immonde !! Au même moment, l'estomac de la femme enveloppée estime qu'il doit se décharger. D'un rot hoqueteux, telle une fontaine pâteuse, un impressionnant vomi sort de la bouche de la vendeuse et se répand à la fois sur la table et sur les jambes de l'acolyte du commandant. Une autre éructation vide le contenu gastrique en une expulsion plus fournie qui dure presque cinq secondes ! Les émanations qui montrent désormais de la salle s'avèrent carrément méphitiques. 

Le commandant, assommé par ce flux alvin, tomba instantanément en pâmoison. Quant à son adjoint, recouvert de nourriture semi-digérée de la bite aux pieds, il resta interdit de surprise, pétrifié comme une statue. La vendeuse enveloppée en profita pour se rhabiller, tout en lançant des regards pleins de colère aux deux satyres en uniforme. Après avoir fait une moue extrêmement méprisante, elle quitta le bureau.

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18 décembre 2017

J'irai vomir sur ta tombe !!!

Kraus, islamophobe radical et raciste viscéral, a crevé d'un improbable infarctus intestinal (si, si,  ça existe...). Toute sa misérable vie, il s'en est pris à cœur joie à des mahométans et à des immigrants non leucodermes. Pour beaucoup, la mort de Kraus a été un immense soulagement. Surtout pour Fatou, jeune étudiante d'origine gambienne, qui n'a jamais caché sa joie. Elle a d'ailleurs pris le parti de l'exprimer, ou plutôt, de la faire jaillir, à sa manière...

Fatou, en dehors de sa confession musulmane, voue un culte à Gargantua et à ses descendants. Elle mange énormément, à la mesure de son gros estomac et de sa masse corporelle, mais rarement jusqu'à l'indigestion. À l'exception de cette nuit là, presque 5 semaines après l'enterrement du Misanthrope Kraus, où l'étudiante sombra dans un excès de table aussi spectaculaire qu'intentionnel.


Tard dans la nuit, sa voiture parquée à moins de 15 mètres de la dernière demeure de son pire ennemi, Fatou engloutit deux pots de crème au chocolat d'un litre chacun, une quantité appréciable de frites à la mayonnaise, six beignets et, bien que sa religion le défende, un gros McDo au porc. Son sentiment de haine l'emportant sur ses nausées, elle conclut son repas pantagruélique en finissant une bouteille d'un litre et demi de soda orange.


L'étudiante, le ventre arrondi, attendit patiemment que l'envie de dégobiller atteigne son paroxysme.Dès qu'elle sentit que tout ce qu'elle venait de consommer remontait dans son œsophage, elle sortit du véhicule en courant. Les mains sur ses genoux, en position penchée vers la pierre tombale de Kraus, elle ouvrit instinctivement sa bouche. Sans le moindre rot le moindre hoquet, un torrent semi-liquide formé du soda, du McDo et d'une partie des beignets s'étala lourdement et bruyamment durant pas moins de 10 secondes !! On croirait un robinet qui expulsait en continu et abondamment une substance vaguement brunatre !


La deuxième expulsion, à peine moins fournie, mais plus épaisse, mélange douteux de frites et de crème, s'éclaboussa majestueusement sur la photo de Kraus et la partie du caveau juste à côté. Elle s'acheva par une toux prolongée, immédiatement suivie par un long rot qui projeta également par les narines de l'étudiante une visqueuse substance beige résultant des restes au fond de la poche gastrique de Fatou.
Contente d'avoir si magistralement gerbé, toujours en position inclinée, la jeune fille hurla, d'une voix enrouée par l'effort vomitif : "Mon cadeau post-mortem, espèce de sous-merde ! Va cramer en enfer, enfoiré !!!!" Pour terminer sa besogne en toute beauté, Fatou se racla longuement la gorge, puis un gros crachat bien gluant et gros tomba de ses lèvres sur des bouts de frites rendus. Elle essuya ses bottes maculées de projections alimentaires, regagna sa bagnole et démarra au quart de tour.

4 février 2017

Derniers adieux avant le régime

Oui, Barbara aimait manger. Du haut de ses 1 m 70, elle pesait 115 kg. Elle n'a jamais cherché à faire un régime, jusqu'au jour où elle suivit un documentaire sur Dailymotion qui la convainquit de stopper sa course aux kilos. Une longue nuit de réflexion plus tard, elle se dit : « Promis, juré, Barbara, tu feras de l'exercice, tu respecteras les consignes du diététicien et tu deviendras mince. Mais avant cela, tu vas dire adieu à ta goinfrerie en t'empiffrant comme jamais tu ne l'as fait !». 

Ce jour-là donc, la jeune femme de 29 ans sauta tous ses repas jusque 18 h. En rentrant dans son appartement où elle vit seule, tiraillée par une faim sans nom, elle dressa toute une table pour elle toute seule. Durant presque une paire d'heures, elle dévora une énorme pizza aux anchois de 12 tranches, avala un gâteau au chocolat de 2 kg et deux gros bols de fraises. Pour se sentir encore plus lourde, elle vida un bidon de lait de 3 L en moins de 10 minutes ! Barbara se leva, toucha son ventre distendu, nauséeuse, mais pas au point de vomir. Cela la rassura. C'est ainsi qu'elle surchargea son estomac démesuré d'un litre et demi supplémentaire de Pepsi. Dès qu'elle finit la bouteille, elle rota à maintes reprises, puis sentit qu'à force d'éructations, les nausées s'amplifiaient et le contenu de sa panse remontait. « L'heure du rituel a sonné », murmura-t-elle.
Assez rapidement, la demoiselle enveloppée retira tous ses vêtements en chambre, se dirigea à poil vers la salle de bains et posa la bonde sur le trou d'évacuation de la baignoire. Assise sur le rebord, elle attendit le moment que son corps décide de se purger. Elle n'attendait pas longtemps. Sous un irrésistible réflexe, Barbara ouvrit grand la bouche. Moins de 15 secondes plus tard, un gigantesque torrent brunâtre parsemé de morceaux de fraises et de gâteau en jaillit fort bruyamment en s'éclaboussant anarchiquement. La fontaine suivante, propulsée par un hoquet, fut formée de près de 2,5 L de gerbe lancée en quelques secondes, pleine de morceaux mal mâchés qui s'étalaient majestueusement. Barbara, à la fois surprise et dégoûtée par la quantité rendue et son aspect, lâcha un autre spasme qui répandit dans toute la baignoire une mixture semi-liquide vaguement beige d'un volume pareil au précédent rejet, de goût acide et d'odeur peu appétissante.
Avant que son gosier n'expulse davantage de bouffe semi-digérée, la jeune femme eut l'idée saugrenue de se redresser, puis de poser ses pieds dans la baignoire où le vomi, épais et visqueux, lui montait un peu au-dessus de la cheville. En position penchée, les mains sur les genoux, Barbara poursuivit sa dégueulade en plusieurs éructations qui laissèrent tomber une pâte lourde d'environ un kilo de gâteau et de pizza formant un monticule sur la mare de gerbe.
La jeune femme se sentit soulagée d'avoir fait sortir de son ventre une telle quantité. De ses gros pieds, elle dispersa le monticule pâteux de la gigantesque flaque malodorante, au point de former une masse homogène. Pas moins de 6 L de vomi ocre !!! Poussant la déraison jusqu'à ses extrêmes limites, Barbara s'allongea et se barbouillant carrément dans ses ordures ! Elle simula un véritable bain, les gros morceaux de pizza faisant office de savon. Ce rituel d'un genre unique se déroula en un peu plus de 20 minutes. Il fut stoppé par de sérieuses douleurs intestinales immédiatement suivies d'une irrépressible envie de déféquer. Apparemment, les tripes de la célibataire ne purent supporter la partie du mélange alimentaire digérée. Sur place, les jambes écartées, elle libéra une impressionnante diarrhée particulièrement nauséabonde d'environ 1300 ml qui se mixa avec le reste du liquide infect de la baignoire en sortant avec pression, et qui s'acheva par un profond petit humide étouffé par le contenu gastrique précédemment déversé !
Définitivement satisfaite de s'être bien gavée, puis bien vidée, l'heure fut au nettoyage, qui prit des heures.

12 décembre 2016

La sentence a été « rendue »

La sentence a été « rendue »

La période de bleusaille n'est pas particulièrement réjouissante pour les étudiants d'un institut dont je ne mentionnerai guère le nom ici, mais qui se situe quelque part en Afrique australe. Elle l'est beaucoup moins pour une nouvelle recrue qui n'a pas su honorer une dette auprès d'un aîné. Tel est le cas de Dimitri, membre de la confrérie gamma lambda omicron (γ, λ, ο), qui s'est emprunté 900 $ US chez Julius, un carabin en 4e année. Le sieur Dimitri a usé de tous les moyens de persuasion, voire de diversion, afin de ne pas payer la somme à échéance. Rien n'y a fait. Désormais en situation inconfortable d'insolvabilité, le gars se retrouve dans de sales draps ou plutôt... allongé à même le sol, nu comme un ver, et attaché aux poignets et aux jambes. Tout autour de lui, trois garçons et trois filles des classes montantes, parmi lesquelles Julius. Ils portent tous une espèce de robe brunâtre surmontée d'une Cape, à la manière des calottins. Légèrement au-dessus du groupe, sur une table, une superbe étudiante en droit de première licence, au corps de rêve, ayant pour tenue de longues bottes rouges, une minijupe noire et un soutien-gorge bleu. Sous ses formes généreuses se dessine un ventre bedonnant. Bridget, qu'elle s'appelle, a en effet rempli sa panse à dessein. À travers son gosier sont passées purée de courge, soupe de carotte en quantité industrielle, 3 assiettes de crudités et une boîte d'un litre de jus de goyave. La gloutonne, végétarienne de son état, dans cette cérémonie sui generis, fait office de juge. Je vous épargne le long réquisitoire de l'étudiant de première année d'économie qui a joué le rôle du ministère public et entame directement l'étrange verdict prononcé par Bridget, fortement nauséeuse : « Frère Dimitri, pour non-paiement de la dette contractée auprès du frère Julius, votre aîné, la confrérie γ, λ, ο vous condamne à un arrosage des fluides gastriques qui fait également office d'annulation de ladite dette ».
Sans tarder sous un chant faussement incantatoire entonné par l'assistance, la jolie jeune fille se penche en direction du coupable attaché. Durant plusieurs secondes, un impressionnant jet formé de jus de goyave et de divers morceaux mal mâchés se propulse violemment de la bouche de l'étudiante et recouvre entièrement les jambes de Dimitri. Sautant de la table, Bridget pose ses divines cuisses sur celles de l'insolvable en s'agenouillant carrément sur les genoux de ce dernier. Ses douces mains appuyées sur le sol, elle lance un rot sec qui libère une autre prodigieuse expulsion liquide et visqueuse vaguement orangeâtre qui se répand magistralement sur le torse de Dimitri. Le garçon ne cache guerre une expression de dégoût, ce qui amuse la juge de circonstance qui lui lance un regard malicieux et vicieux. Retirant ses mains du sol, la jeune fille les joint en formant un creux. L'éructation suivante projette une gerbe moins abondante, mais plus pâteuse, qui atterrit en partie sur les mains jointes, le reste dégoulinant en filets multiples. Le vomi est délicatement versé sur le visage du condamné et appliqué tel une lotion par les mains mêmes qui l'ont reçu. Le dernier rejet, sous une toux bruyante, tombe nonchalamment sur la tignasse fournie de Dimitri et est formé d'une humeur poisseuse parsemée de gros morceaux de crudités.
Fort ravie de la sentence rendue (au propre comme au figuré), la juge improvisée se lève, essuie ses lèvres et ses mains souillées et ordonne la libération du malheureux qui a purgé sa peine d'une bien étrange manière.
Croyez-vous que par après, Dimitri ait porté plainte pour violence et voie de fait ou pour toute autre infraction du genre contre ses tortionnaires ? Détrompez-vous ! Depuis cette mémorable punition, les liens que tisse le garçon avec la confrérie sont devenus encore plus solide...!

5 septembre 2016

Hypnose vomitive

Sergine, 34 ans, célibataire, est une amatrice de bonne chère. Et quand elle consomme, la jeune femme ne fait guère dans la dentelle : elle peut manger et boire de minuit à cinq heures ! Elle a essayé tous les régimes qui lui sont tombés entre les mains. Soit ça ne marche pas, soit, prise un moment de fringales difficilement contrôlables, elle récupère en engloutissant de grandes quantités. Non, Sergine ne souffre pas de boulimie : à moins qu'elle soit très malade, elle digère tous ses repas. D'où son surpoids : 1m62 pour 80 kg. 

Tous les régimes, disais-je, ne lui réussissaient pas, jusqu'au jour où, lors de ses pérégrinations sur la Toile, elle tomba sur une technique censée, en une seule séance, faire passer définitivement à celui qui la pratique l'envie de se remplir démesurément la panse. Le nom de ladite technique : l'hypnose pré-vomitive.
Après avoir répondu au rendez-vous fixé par le praticien au domicile même de notre femme, tout est déjà prêt à son arrivée, comme il l'a prescrit par chat sur Whatsapp. En effet, Sergine se doit d'avaler son meilleur plat servi en une quantité telle qu'elle ne peut tout terminer de sa propre volonté. Et c'est là qu'intervient l'hypnose : la jeune femme va tout terminer, dans un état second provoqué par le praticien. Le meilleur plat en question est une montagne de crêpes de 25 cm de haut suivie d'une énorme pastèque.
Un quart d'heure d'autosuggestion plus tard, la demoiselle est suffisamment conditionnée pour dévorer goulûment son repas. En moins d'une demi-heure, en s'empiffrant telle une truie, elle dévore anarchiquement la pâtisserie et le dessert. Une fois terminée sa manducation, le praticien suggère à Sergine de se lever. Bien qu'enveloppée, celle-ci présente un ventre plus bombé que de coutume. Un claquement de doigts plus tard, la voilà qui retrouve tous ses esprits.
La première réaction de la trentenaire est la grande surprise de constater l'assiette vide et les tranches du gros réduites à leur carcasse. Touchant son bide surchargé, elle se sent ensuite prise de très violentes nausées. Les mains sur la table, sans prévenir, la jeune femme expulse brutalement un jet plus liquide que pâteux qui recouvre en un instant l'ensemble de la table, lequel jet s'achève par une forte quinte de toux. Quelques secondes et un rot plus tard, la bouche de Sergine évacue un formidable torrent plus abondant et plus lourd que le précédent. Le vomi, rosé et rempli de grains noirâtres, se répand rapidement et tombe en filets visqueux sur le sol. Inclinant sa tête vers le sol, sans effort ni la moindre éructation, mais très bruyamment, la gloutonne projette un autre Niagara en grande partie formé de gros grumeaux de crêpes qui s'éclabousse en s'étalant en une majestueuse flaque. Cette expulsion, ainsi que les quatre autres, moins spectaculaires, mais plus épaisses, se termine par des toussotements assez violents. À l'occasion, le vomi sort également des narines de la jeune femme.
Sous une atmosphère aux relents suspects de matières semi-digérées dont la table est entièrement plaquée et le sol aux pieds de Sergine recouvert, un profond sentiment de culpabilité, de dégoût et de honte envahit cette dernière. Même le praticien, qui en a pourtant vu d'autres, ne peut qu'être ébahi devant un tel volume de gerbe.
Le résultat de ses excès étant essuyé à coups de serviette, de torchon et de serpillière, et l'hypnotiseur ayant regagné son bureau, la jeune femme, réellement guérie de sa gourmandise, mange désormais modérément. Elle a, à la suite de ce traitement d'un genre spécial, perdu une dizaine de kilos en huit semaines, ce qui n'est pas si mal. Si elle continue dans cette lancée, elle deviendra la personne svelte qu'elle n'a jamais été.

7 mars 2016

Chez un copain voyeur

Theresa, 27 ans, a 1 m 67 pour 60 kilos. Elle est ravissante pour beaucoup, mais pas pour son nouveau petit ami Hugues qui la trouve un peu trop mince : il préfère les femmes arborant des rondeurs et l'a souvent répété.

Pour plaire à son homme, la meuf n'a pas le choix. Chercher à prendre rapidement de l'embonpoint devient son obsession. Des amies au raisonnement aussi superficiel que la légèreté de leurs mœurs lui conseillent une posologie faite de produits qui augmentent singulièrement l'envie de manger de celui censé les consommer. Theresa débute son étrange cure un certain soir.

Le lendemain matin, elle se réveille avec une faim de loup et un appétit d'ogresse. À la surprise de ses proches, elle parvient à finir trois énormes bols de flocons d'avoine mêlés à deux pains de taille conséquente ! Ce repas copieux englouti, elle prend d'autres cachets et s'en va piquer un somme.

Vers midi, tenaillée par une autre soudaine et irrépressible fringale, elle avale quatre  « boules » de pâtes de manioc accompagnées d'une marmite de poissons frais aux aubergines.

« - Mais qu'est-ce qui t'arrive, Théthé, s'étonne sa petite sœur

- J'avais la dalle. Y a un problème, lance la jeune femme très sèchement, ce qui clôt net la conversation ».

De retour en chambre, Theresa touche son gros ventre, satisfaite du résultat. Elle se sent pleine à craquer. Voulant cependant plaire à son mec, elle prend une fois de plus ses médocs et s'assoupit un peu.

Vers 15 h, elle remarque que bien que ressentant un grand désir de bouffer, elle n'a pas trop digéré. Elle a faim, mais en même temps, se sent lourde.  « Bah, sûrement un effet secondaire des comprimés », se rassure-t-elle. C'est ainsi qu'elle prend un bus et se rend chez Hugues, lequel lui a préparé, en bon amateur de cuisine et de tradition nippones, une grande quantité de nouilles aux boulettes de viande que Thérèse mange sur deux plats. Cependant, elle ne parvient guère à entamer le dessert au yaourt.

« - Mon sucre, tu es rassasiée ?

- Ça, tu peux le dire, murmure la demoiselle. Mate un peu ça. »

En se levant, la meuf exhibe un ventre volumineux.

« - Waouh, s'exclame Hugues. Comment t'as fait ?

- Ça, c'est mon secret, sourit Theresa. Dans quelques jours, tu auras une copine bien enveloppée, comme tu les aimes.

- Et comment ! Alors, finis ce pot de yaourt pour... Euh... Chérie ?

- Hugo, je me sens pas trop bien. J'ai soudain envie de tout gerber !

- Oh la la...! Cours vite aux toilettes ! »

La meuf ne se fait pas prier. Elle se précipite aux installations et se penche vers un large bidet. Ce qu'elle ignore est qu'une webcam est dissimulée juste au-dessus et une autre discrètement accrochée du côté du trou, mais tournée vers l'extérieur. Le copain à Theresa filme ainsi toute la scène.

Sous un rot bref, elle expulse, d'un très long jet qui dure plusieurs secondes, les nouilles et les boulettes mal mâchées qui s'étalent en glissant nonchalamment en une masse beige parsemée de morceaux rougeâtres. Ça sort avec une telle pression que même les narines laissent pendouiller des bouts. Toujours en position inclinée, en tenant son ventre d'une main et sa jambe droite de l'autre, la meuf souffle quelques instants. Un autre spasme la surprend qui fait jaillir de sa bouche de manière assez impressionnante la pâte de manioc aux poissons qu'elle elle avait prise trois heures plus tôt. La quantité est si importante que le vomi tombe comme une fontaine et ce, à quatre reprises ! Fatiguée par cet effort intense de rejet, Theresa, les yeux en larmes et le nez chargé de grumeaux s'assoit par terre un moment. Mais son estomac, rebelle et voulant totalement se purger, oblige la jolie meuf à poser sa tête sur le bidet. Sous une éructation aussi brutale qu'audible, elle arrose ce dernier d'un chaud liquide visqueux où l'on retrouve un mix d'un peu tout ce qu'elle a mangé depuis le matin, y compris des morceaux de pain mélangés aux flocons d'avoine. Suivent des quintes de toux qui achèvent de vider Theresa en permettant d'évacuer des volumes plus ou moins abondants.

Honteuse et confuse d'avoir tant dégueulé, la copine à Hugues sanglote un moment, tire la chasse d'eau, ouvre précipitamment la porte des toilettes tout en regardant son mec très méchamment. « J'aurais dû lui vomir dessus », pense brièvement la jolie demoiselle.

« Ma puce, ça va mieux ?  »

Pour toute réponse, Therese lui administre une formidable claque, puis se tire chez elle. Pour nos deux tourtereaux, fin de l'histoire !

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Des filles qui gerbent à max, mais sans sexe
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