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Des filles qui gerbent à max, mais sans sexe
12 décembre 2010

Soirée toto-vomi (II) : SCAT AND VOMIT

Qu’Augustina pèse aux alentours d’une centaine de kilos et qu’elle mesure 1 m 85 n’est pas un mystère : notre pétasse dévore quotidiennement cinq repas d’une personne normalement constituée. Cette nuit, elle vient de consommer une quantité de haricots bruns véritablement démentielle : presque deux grosses casseroles ! Chose rare, Augustina se sent pleine, presque barbouillée. Cette gloutonnerie n’est pas uniquement le fait de son appétit démesuré. La péripatéticienne a fomenté un plan machiavélique dans son pervers cerveau…

Lourdement, après avoir avalé la dernière cuillère, la jeune femme va en pharmacie acheter un laxatif puissant. Puis elle se rend dans un supermarché à deux pas d’où elle sort avec cinq litres de jus de mangue. Un transport plus tard, à 150 m de chez un de ses clients, elle absorbe rapidement le laxatif en surdose.

La fille de joie frappe à la porte. Dès que le client ouvre, il est accueilli par un violent coup de poing sur le visage, qui le fait s’évanouir instantanément. Augustina, d’un geste rapide, tord le cou de l’infortuné qui passe du sommeil à la mort après un craquement de cervicales. Bien qu’enveloppée, la garce pratique régulièrement des sports de combat. Son crime n’a pas de témoin, car le fameux client est seul.

Augustina, constatant avec plaisir que le monsieur a rendu l’âme, le place au milieu du salon, à même le sol, puis ferme soigneusement la porte à verrous. Les tiraillements s’amplifient de seconde en seconde dans ses entrailles. Dix minutes plus tard, l’envie de déféquer atteint son comble. Frénétiquement, la grosse femme retire sa jupette sans slip et dirige son énorme popotin vers le visage du défunt. Sans pet, une diarrhée profuse, très pâteuse, jaillit durant vingt bonnes secondes, recouvrant entièrement la tête et le torse du client. Il s’ensuit un « prout » très bref qui propulse avec énergie des excréments nettement plus fluides, sous un flux d’une minute, ininterrompu mais variable ! Tout le corps du cadavre est recouvert d’une belle merde couleur chocolat. Un pet assez sonore et très malsain achève l’écoulement alvin. L’odeur qui règne est terriblement fétide. « Salaud, ça t’apprendra à tuer des innocents ! », dit Augustina en se rhabillant. « Mais tu vas payer davantage ! », s’écrie-t-elle.

La salope retire de son sac la bouteille de jus. Gorgée après gorgée, en un temps presque record, elle la vide entièrement. Son ventre ordinairement gros est encore plus gonflé. Quelques secondes plus tard, Augustina se penche vers le client refroidi, les mains sur ses cuisses charnues, en proie à de fortes nausées. Les trois premiers rots ne libèrent que des filets de salive. Sous l’effort d’un spasme cependant, la bouche grande ouverte et les yeux fermés, la pute pousse un hoquet qui expulse plusieurs centaines de centilitres d’un liquide marron parsemé de haricots non mâchés, puis les remontées cessent. Consciente du volume qui reste encore dans son estomac qu’elle doit évacuer, Augustina, toujours en position inclinée, enfonce ses doigts dans la gorge. Le vomi rejaillit abondamment après trois essais et en deux reprises, en s’éclaboussant brutalement sur le corps plaqué de caca. Deux doigts dans la gorge plus tard, les derniers rejets se font sous d’intenses éructations mêlées de quintes de toux. Une flaque immonde entoure le pauvre client. « Ce n’est pas tout, enfoiré ! Voici le dessert… »

Augustina ressent en effet subitement une irrépressible envie de pisser et un autre impérieux besoin de chier. Elle tend une fois de plus son large cul vers le mec sans vie. Au même moment, la prostituée laisse tomber une phénoménale quantité d’urine et une projection diarrhéiques des plus fournies et malodorantes qui sort sous plusieurs bruits fort déplaisants. Sa basse besogne accomplie, la jeune femme pousse un rire diabolique, s’habille, se retourne, crache un gros mollard sur le client et s’en va en laissant la porte ouverte.

La police, dans les heures qui suivent cette orgie, est alertée par les gens de l’immeuble, eux-mêmes perturbés par les miasmes indescriptibles qui s’échappent de l’appart du meurtre. On ne tient pas encore la coupable, mais si Augustina est toujours dans les parages, ça ne saura tarder.

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